Bilan des migrations

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Cette interface est la plus importante et sera la plus utilisée. Elle effectue des calculs complexes inaccessibles à l’aide de requêtes simples en répartissant par jour les effectifs, et en calculant les conversions poids-> effectif et effectif-> poids dans le cas des civelles (ou d’autres quantités de lots , comme la résistivité si elles devaient exister un jour).

Afin d’effectuer un bilan des migrations, vous devez sélectionnez les dates de début, le nombre de pas de temps (1 pas de temps = 1 jour), le dispositif de comptage, le taxon et le stade concerné.

Une fois ceci renseigné, vous devez impérativement effectuer un calcul, ceci afin d’extraire les informations de la base (un message dans la console vous le dira si vous ne l’avez pas encore fait).

Une fois le calcul terminé, vous pouvez afficher le graphique sous forme de diagramme à bâtons (bouton « graph »), ou afficher un diagramme cumulé des migrations durant l’année (bouton « cumul »).

Le graphique affiche également un bilan des périodes de fonctionnement des DF et DC, ainsi que des opérations (OP). Sur la ligne des opérations, un changement de couleur indique un changement d’opérations.

En appuyant sur le bouton « stat », des statistiques sous forme de tableau .csv sont générées, à la fois pour le tableau des résultats journaliers et pour le tableau des résultats mensuels. Par défaut, ces données sont stockées dans Mes documents/CalcmigData, sous la forme d’un tableau (ex res2007.csv) qui pour chaque bilan colle des nouvelles lignes dans la table (ex : 6_Anguilla anguilla_civelle_2005.csv), et qui remplace le tableau de bilan des migrations.

Le bilan migration écrit un certain nombre d’informations dans la base. Celles-ci seront utilisées lorsqu’un bilan migration interannuelle sur cette période sera effectué. Parfois, il se peut que les données d’un bilan aient déjà été rentrées dans la base. Dans ce cas, au moment de l’affichage du graphique, une fenêtre apparaît, vous indiquant qu’un bilan a déjà été écrit précédemment, et vous demandant si vous souhaitez mettre à jour les informations dans la base.

NOTES TECHNIQUES :

Requête :cette classe utilise la commande SQL overlaps pour chercher toutes les opérations ayant une période commune avec chaque pas de temps, et elle boucle sur toutes les journées d’une année. Les requêtes peuvent donc prendre un certain temps.

Période :en pratique la classe pourrait effectuer les calculs sur n’importe quelle période (comme c’est le cas dans l’interface java pour le bilan migration) mais pour assurer la cohérence des graphiques en sortie (qui nécessitent des données au format annuel) nous avons bloqué l’extension des pas de temps.

Quantités de lots :les requêtes permettent de constituer un tableau avec pour chaque jour, la somme des effectifs, la somme des quantités de lots (poids de civelles) si il y en a, les coefficients de conversion poids effectif entrés dans la base, et les taux d’échappement au niveau de l’ouvrage si ils existent. Si votre lot est composé de civelles et du taxon anguilla anguilla, alors l’interface traite les quantités de lot et de nombreuses colonnes sont rajoutées au tableau de sortie pour avoir pour chacune des catégories (Mesuré, Calculé, Expert, Ponctuel, total) les effectifs, et pour avoir également la conversion en poids des civelles comptées. Ceci permet de calculer le poids total et les effectifs des civelles ayant migré sur la saison et ce qu’elles aient été dénombrées ou pesées.

Graphiques :l’utilitaire newgraph ouvre une nouvelle fenêtre graphique ou le bilanMigration sera moins à l’étroit, vous pouvez ajuster la taille du graphe avant de cliquer sur bouton. Une fois le graphe effectué dans cette nouvelle fenêtre graphique il est possible de le sauvegarder ou de le copier à l’aide du menu fichier en haut de la fenêtre graphique. Le mode .bmp assure que les « transparences » de certains graphiques soient copiées. Un clic droit puis copier copie en mode vectoriel.

Opérations et Fonctionnement des dispositifs :le bilan migration fait apparaitre les opérations et les périodes de fonctionnement des dispositifs. C’est très utile pour repérer les trous …

Echappements à l’ouvrage :Pour l’instant nous n’avons pas encore traité les taux d’échappement mais ils sont présents dans le tableau de sortie. Si dans une folle audace, vous suiviez les instructions s’affichant dans la console pour récupérer le tableau de traitement des données en tapant dans la console R (get('tableau',envir_stacomi)), vous pourriez quand même avoir accès à ces coefficient dans la colonne Taux_d’échappement. Le script ci-dessous permet de redresser les effectifs, il suffira d’appuyer ensuite sur le bouton graphique pour relancer les graphes.

tableau<- get('tableau',envir_stacomi) # récupère depuis l’environnement stacomi le tableau de données

tableau$Effectif_total[tableau$Taux_d_échappement!=-1]<-tableau$Effectif_total*tableau[tableau$Taux_d_échappement!=-1,"Taux_d_échappement"] #remplace les valeurs d’effectif par les taux d’échappements journaliers moyens calculés à partir des données entrées dans la base

bilanMigration=get('bilanMigration',envir_stacomi) # récupère l’objet bilan migration depuis l’environnement stacomi

bilanMigration@data<-tableau # remplace dans le slot data par la partie droite de l’assignation

assign("bilanMigration",bilanMigration,envir_stacomi) # replace l’objet bilanMigration dans l’environnement stacomi

Ecriture des statistiques :le répertoire de travail par défaut peut être modifié en éditant le fichier calcmig.xml de c:/program_files/stacomi

datawd~\\CalcmigData/datawd

Par exemple ~\\arzal\\migration\\sorties pointera vers C:\Documents and Settings\cedric\Mes documents\arzal\migration\sorties, c’est le chemin normal sous windows mais avec des doubles backslashes.